“Paul Bismuth” alias Sarkozy

03 mars 2021 à 08h32 - 571 vues

« L’histoire est simple,  Le jugement est historique. Il peut être modifié en appel comme pour n’importe qui. C’est l’histoire d’un ex-Président cherchant à obtenir des informations sur des enquêtes en cours. Il prend une ligne téléphonique dédiée à Paul Bismuth (un nom d’emprunt) et se charge avec son ami avocat de démarcher un magistrat. En échange, ce dernier aura une promotion. Voilà. Sauf qu’en droit, cela a un nom : corruption. »

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Et cette condamnation est donc une première… Comme l’explique Sud-Ouest : « Nicolas Sarkozy n’est pas seulement le deuxième chef de l’État, dix ans après Jacques Chirac, à se voir condamné en première instance ; il est aussi le premier à se voir condamné à une peine de prison ferme – sous réserve du jugement en appel. La désacralisation présidentielle se poursuit, pointe Sud-Ouest : ce que le quinquennat avait commencé, ce que l’information continue et les réseaux sociaux ont poursuivi, la justice l’achève. Même si tout continue de tourner autour d’eux tant qu’ils trônent à l’Élysée, les héritiers des rois thaumaturges, non seulement ne guérissent plus les écrouelles (ou le Covid), mais ils peuvent se voir marqués du sceau de l’infamie à leur sortie. C’est ce que les juges parisiens viennent de signifier à Nicolas Sarkozy pour des faits qui semblaient pourtant plus relever d’une histoire de cornecul que d’une affaire d’État. On veut croire, conclut Sud-Ouest, qu’ils n’ont pas agi par esprit de vengeance. »

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Sans object?

Voyons les chose d’une autre angle : « Nicolas Sarkozy est condamné pour une conversation téléphonique (celle d’un client avec son avocat) relative à une affaire pour CLIQUER POUR LIRE LA SUITE 

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